Mission grand rangement interminable... T.T

Arisu souriait. Tout simplement, elle souriait. Mais son sourire ne dura pas vraiment. À l'entente du flot de repproches que lui criait sa cousine, ses lèvres s'affaisèrent en une moue boudeuse. Elle attendit que Himeka finisse de la sermoner. N'écoutant que vaguement ce qu'elle lui disait.
Quant sa cousine eu finit, Arisu poussa un long soupir et répliqua sur un ton ... froid mais tout de même poli.

- C'est bon ? Tu as finis de crier ? Je m'excuse. Puisque tu prends sa aussi durement je ne recommencerais plus... Tu veux peut-être que je retourne m'excuser ?

Arisu avait prononcé sa dernière phrase sur un ton ironique.
Elle se détourna de sa cousine pour faire face à son carnage. Et c'est avec un nouveau soupir plutôt contrarié, elle commenca ranger ses affaires.

Himeka regarda de plus près les vêtements éparpillé dans leur chambre. Il y avait autant d'habits de filles que d'habits de garçons... a dire vrai, il n'y avait plus aucun vêtement à sa place. Meka se leva enfin et commença à repérer ses propres vêtements pour commencer. Elle s'était dit que pour commencr elle rangerait ses affaires et enuite celle des autres. Pour Hime, il s'agissait d'un choix plus intelligent étant donné qu'elle svait où elle aurait dut se trouver. L'air décourager, elle s'attela à sa tâche, laissant parfois s'échapper quelque souppire, elle commença à rassembler une grande partie de ses affaires sur son lit. L'autre partie, elle les avait rangé dans la minute suivant leur trouvaille.
Du coin de l'oeil, elle jetait quelque regard à Arisu qui, elle aussi, rangeait ses affaires. La cousine de Meka semblait elle aussi un peu découragé rien qu'à la vue de ce qui devait encore être rangé.

-Dit Arisu! Sais-tu quelle heure est-il actuellement?

En attendant une réponse, Himeka décida de faire une brêve pause, et alla donc s'installer sur la place qu'il restai sur son lit.

Je m'affairais à ranger en premier mes propres affaires. À dire vrai, j'avais imitée Himeka qui elle aussi commencait par ranger ses affaires. C'est en la regardant faire que j'étais alors dit que cela serait plus simple.
Himeka me demanda l'heure. Je lui répondis tout en continuant de ranger ce bazar.

- Pour le savoir, il faudrait déjà retrouver le réveil !

Mon ton était ironique. J'était à quatres pattes sur le sol en train de chercher notre fugitif. Je crus entendre Himeka pouffer "discrètement" mais n'en dit rien.
C'est avec un soupir découragé que je me tournais vers ma cousine pour lui dire que notre réveil était pour le moment aux abonnés absent. Mais une odeur m'empêcha de dire quoi que ce soit. Une odeur de...

- PARFUM !

J'avais crié. Je reconnaissait vaguement cette odeur. C'était la même odeur que celle que dégageait Hiroto.
Je regardis le sol. C'est en soulevant un bout de tissu bleu turquoise (qui se révéla être une de mes robes) que je découvris une bouteille (ou du moins de qu'il en restait) brisées. Le liquide s'était répandu sur le sol. Mais je me rendis vite compte que la plupart du parfum s'était imbibé sur ma robe.
Je lançais alors un regard plutôt coupable à Himeka et lui dit d'une voix désolé:

- Je crois que j'ai fais une bêtise...

Je levais ma robe pour lui montrer le coté imbibé de parfum. L'odeur n'en était pas désagréable mais ce n'était pas sur ma robe ni par terre que cette odeur devait être...

Himeka se leva de son lit et s'avança de sa cousine. Elle regarda la pauvre robe de celle-ci et ne sut quoi dire ni quoi faire. Elle jeta un coup d'oeil rapide à la bouteille cassée l'inspecta d'un peu plus près... C'était une bouteille de maque qui avait surement dut couter pas mal d'argent à son sempai...

-Bon... pour la robe, je te propose qu'on aille au pressing une fois qu'on le pourra. Par contre, pour la bouteille de parfum, il nous faudra en parler avec Kôshirô-sempai...

Himeka alla chercher un sac de poubelle dans l'un des meubles qui se trouvait dans leur salle de bain. Ellele ddéplia, le mit pres du flacon brisé et ramassa les petits morceaux sur le sol. Pour le reste du liquide sur le sol, elle ne put rien faire.