La chance n'est donc jamais la quand on en a vraiment besoin ?

Arisu était en train de lire un livre dans le Grand Jardin à l'ombre d'un cerisier. Elle était littéralement plongée dans cet ouvrage. C'était surement le livre qu'elle chérissait le plus parmi tous ceux qu'elle possédait. La particularité de ce livre était simplement qu'il avait appartenu à... Arisu fut tirée de ses songes par le bruit que venait de produire son ventre. Elle prit entre ses mains son pendentif qu'elle ne quittait jamais et regarda quelle heure il était.

-C'est pas possible ! s'écria alors la jeune neko

Il était précisément 12h49 et apparemment, son estomac venait de manifester sa faim. A cette pensée, Arisu se surpris à rire. Elle prit alors son marque page et le glissa à la page ou elle venait de s'arrêter. Elle se leva et sorti de l'ombre se retrouvant sous un soleil rayonnant. Elle marcha vers le pensionnat et y entra.
Une fois devant la cafétéria, la jeune neko huma le doux parfum de la nourriture. Elle entra donc, il n'y avait que peu de personnes encore en train de manger. Arisu avança et prit un plateau, elle le déposa sur les barres de fer qui servait à faire glisser le plateau. Elle avançait et commençait à faire son choix quand une voix qui lui était malheureusement familière l'interrompit.

-Tiens mais qui voila ! Ne serait-ce pas ma fugitive ? fit un garçon.

Arisu releva tant bien que mal la tête en priant qu'elle se trompait sur l'identité de cette personne. Malheureusement pour elle, Arisu ne c'était pas trompée. Elle ne ce trompait jamais et ce garçon était bien le même qu'elle avait fuit lors de leur "conversation" au guichet. Elle le fixa d'un regard noir. Et ne voulant pas regarder ce cinquième année une secondes de plus, elle baissa la tête et continua sa recherche de nourriture.

Hiroto avait été quelque peu iriter par son départ soudain quand il occupait le poste de l'Administration ce midi même. Il voulait simplement lui parler et cette jeune fille était partie en lui arrachant son badge des main. Rien que d'y penser l'énervait en silence. Pourtant, il afficha un sourire espiègle et continua de bavarder avec elle en finissant de remplirent son plateau.
-Maintenant aussi tu vas me fuir?

Il termina de remplir son plateau et se mit devant la jeune. Elle était un peu plus petite que lui, mais elle semblait déjà très mature. En la regardant fixement ainsi, il se demander à quelle race elle pouvait bien appartenir. Il vit aussi que son regard l'embarrassait, mais il ne détourna pas ses yeux. Quand il vit qu'elle partie pour s'installer, il la suivit. Rien ne pouvait le faire changer d'idée maintenant, il allait mangé avec elle quoi qu'il arrive. Après tout, une fois que la faim se serait emparé d'elle, elle ne chercherait plus à le semer et elle se résignerait à manger avec lui. D'autant plus que plus elle essaierais de s'éloigner de lui, qui était en cinquième année, et plus elle passerait pour une idiote, elle qui n'était qu'une seconde année. Hiroto se demandait déjà combien de temps la comédie de cette fille allait continuer, il se demandait également qu'elle était son problème.

Tout en s'installant à un table, Arisu soupira en silence mais ne répondit pas au garçon. Elle n'aimait pas être suivit ainsi mais ne fit aucun commentaire à se sujet et s'y résigna. Tout en mangeant, la jeune fille laissa libre cour à ses pensées.


Arisu continua ainsi de se demander se qu'elle devait faire pendant se qu'elle avait cru être un long moment. Mais quand elle avait regarder sa montre, elle avait à contre coeur constatée qu'il ne s'était écoulé que 10 minutes. Le pire c'est que le garçon ne la quittait pas des yeux.


Mais la jeune neko ne partirais pas car cela ne servirait à rien, elle l'avait bien entendu soit disant qu'elle passerait pour une idiote.


C'est alors qu'elle ce souvint qu'il lui avait posé une question.

*Autant y répondre, peu être me laissera t-il après ?*

-Je ne te fuis pas toi. Ce son tous les garçons que je fuis. Et puis tu n'as pas besoin de moi pour vivre à ce que je sache, si ? fit Arisu froidement.

Elle le regardait à présent. Non pas avec son regard habituellement amical car en cet instant, il n'exprimait aucune émotions.

-A j'allais oublier, mes problèmes ne te regarde pas. Occupe toi déjà des tiens au lieu de te mêler de ce qui ne te concerne pas. rajouta t-elle toujours aussi froidement. Mais en ayant prononcé cette phrase, des souvenirs lui revinrent à l'esprit. Elle ravala des larmes imminante, se leva et se dirigea vers la porte de sortie de la cafétéria. Elle ne savait pas si le garçon la suivrait ou si il resterait pétrifié comme à leur "première rencontre". Mais la jeune fille ne s'en soucia pas car pour le moment elle venait de violer la promesse qu'elle s'était faite.

Après les déclarations de cette fille, Hiroto éclata de rire. Il ne pouvait se retenir car, il trouvait débile qu'une fille veuille fuir tous les garçons, après tout, ils ne sont pas tous des idiots. Après un petit moment de réflexion, il décida enfin de dire quelque chose.
-Sache jeune fille, que je n'ai aucun problème. Par contre toi tu en as! Et puis c'est à moi de choisir si je peux oui ou non vivre sans toi!

*Dans le cas présent, j'avoue être en mesure de me passer de toi*

Il posa son plateau et commença à regarder avec appétit se qu'il y avait dedans. Tout en ne détachant pas son attention de cette fille mystérieuse. Avant, tout, il commença par essayer de faire connaissance avec elle.
-Au faite, qui es-tu?

Hiroto la regardait avec intérêt, car il espérait silencieusement qu'elle lui répond sans l'envoyer sur les roses. Même si elle était assez jolie, elle avait un caractère à prendre avec des pincettes, se qui piquait justement sa curiosité. Même si elle n'était à première vus pas très loquasse, il tenait quand même à la faire parler par tout les moyens. Après tout, il n'avait rien à perdre, et il ne savait pas comment faire passer son temps puisque aucun club n'acceptait sa participation. Hiroto commença donc à déjeuner en attendant que cette dernière daigne lui répondre.

En l'entendant rire, Arisu s'arrêta net. Elle ne voulait pas se mettre en colère mais le fait que ce garçon se moque d'elle ne l'en dissuadait pas. Elle écouta donc ce qu'il lui disait sans pour autant se retourner pour que la tentation de "l'envoyer sur les rose" comme il l'avait pensé soit moins forte. Et cela marcha car tout en restant attentif elle sentit sa colère s'apaiser. Toutefois ne garçon ne savait pas à quel point il avait tord de rire comme il venait de le faire. Arisu jugea alors qu'elle était calme et se retourna de façon à regarder droit dans les yeux ce cinquième année.

-Ne rit pas... Et s'il te plaît exprime toi à voix haute..."*Dans le cas présent, j'avoue être en mesure de me passer de toi*" Et oui, ce sont tes pensées !


Et tant donné que Arisu pouvait entendre les pensées de toute personne se trouvant à proximité d'elle, elle n'appréciait pas que ces interlocuteur dise une chose et en pense une autre à coter.

-Si tu es mesure de te passer de moi et bien arrête de me suivre partout... fit t-elle.

Sur ses dire, la jeune fille se dirigea cette fois non pas vers la sortie mais vers une autre table que celle où ce garçon était assit. En passant devant la table où le garçon était maintenant seul, Arisu s'arrêta.

-Navré, mais tes espoirs son vint...

Elle passa alors son chemin et s'assit pour la deuxième fois ce midi sur une table vide.

Hiroto regarda et écouta cette fille. Elle semblait vouloir se débarasser de lui d'une façon diplômate, mais, il n'avait aucune envie lui de la laisser partir. C'est pourquoi, il partie sur la table où elle s'installa. Il la regarda avec un petit sourire amusé, mais cela ne signifiait pas qu'il se moquait d'elle, mais plutôt l'un de ses signes de détermination.
-Je pense queé vais encore te suivre un petit moment. Après tout, mes espoirs seront vraiment vint au moment où j'aurais décidé d'abandonner!

Ses yeux remplit de détermination, il regarda de plus belle la jeune fille droit dans ses yeux d'émeraude, pui toujours avec le même sourire niais d'enfant réveur, il continua de parler à cette jeune fille dont il ignorait le nom.
-Mais moi, Hiroto Kôshirô, je n'abandonne jamais, et je ne fuis jamais devant la difficulé. C'est grâce à cette qualité que j'ai put continuer ma progression ici!

Il se rappela les moment très dur et éprouvant qu'il avait réussit à surmonter grâce à ce trait de charactère. Il n'avait pas réellement d'ami à cause de son charactère très complet, et il devait égalment avouer qu'il était également aussi sauvage qu'elle avant d'entrer dans ce pensionnat.
*Tu as bien dit que tu entendais mes penser, non? Et bien sache que moi aussi j'ai été comme toi à une époque, et sache que si rie ne te sourit, il vaut aller chercher les sourire*

Hiroto continua son repas qui avait été interromput par un changement soudain de place. Après cela il continua de faire connaissance avec elle puisqu'elle semblait être un peu plus calme. Il n'avait pas encore la certitude qu'elle resterait assise là, mais qui ne tente rien n'à rien...
-J'ai déjà eut l'occasion de me présenter, mais toi qui es-tu, miss sans sourire?

Une fois installé à une table vide qu'elle avait choisit, Arisu entrepit de couper la pomme qu'elle avait acheté. Un quartier ce détacha du reste de celle-ci. La jeune fille s'apprêtait à en manger une extrêmiter quand elle vit se qu'elle avait tant redouté... Ce garçon s'était levé de la table à laquelle Arisu l'avait laissé seul et il se dirigeait à présent une fois de plus vers Arisu. Il s'assit à la table auparavant vide de la jeune fille et elle le vit alors sourire. Elle ignora son dernié geste et l'écouta avec mécontentement. Et tout en l'écoutant, Arisu entrepit de manger le quartié de pomme qu'elle s'était coupé. La jeune fille l'écouta d'abord parler d'espoir, elle n'avait pas totalement écouté ses paroles-ci. Elle entendit alors le garçon se présenter ou du moins dire comment il s'appelle.

*Hiroto Kôshirô....*

Ce nom ne lui était pas inconnu, il lui semblait bien l'avoir entendu quelque par... Mais où ? Arisu mit interme aux flots de penser qui l'envahissait car elle se sentait observé. La jeune fille leva alors la tête et se rendit compte que ce Hiroto la fixait. Elle affronta son regard comme elle ne l'avait pas fait depuis bien longtemps. Pour une raison qui lui avait échappée, le garçon souriait toujours. D'un sourire qu'elle entrepris alors d'examiner. Son sourire était... beau, peut-être même parfait, car ses dents étaient parfaitement blanche et... Son examen fut tout à coup interrompu par des penser que la jeune fille venait d'entendre. Mais pas n'importe lesquelles, les pensées qu'elle venait d'entendre était celles du garçon.

* Oui, il est vrai que j'entend la moindre de tes penser. En revanche je doute que tu es été ne serait-ce une seconde comme moi... *

Ces dernière parole brisère la joie que l'on avait pu voir sur sonnvisage, se transformant en une expression quelque peu triste. La jeune fille ne s'autorisa néanmoins pas le loisir de pleurer. Elle l'avait alors ignoré, essayant du mieux qu'elle l'avait pu de contenir ses larmes mais Hiroto lui adrassa de nouveau quelque paroles. Elle était presque certaine que celui-ci n'avait pas remarqué son malaise. De ce fait, Arisu l'écouta mais profita tout de même de ces quelques secondes pour recouvrer le calme qu'elle s'efforçait d'afficher depuis le début. Il lui demandait son nom... Que lui dirait-elle ? La jeune fille laissa passer quelques secondes puis se décida. Elle leva ses yeux encore brillant de larmes, larmes qui en quelques secondes n'avaient pas eus le temps de disparaître totalement.

- Bien, puisque j'ai la certitude que tu ne lachera rien, tu n'as qu'a m'appeller Arisu... Et s'il te plaît, ne m'appelle pas "miss sans sourire"... Tu ne sais rien de moi ! fit-elle.

Sur ses dires, Arisu laissa le flot de ses penser l'envahir de nouveau. Elle resta dans un silence lourd. La jeune fille s'apprêtait à faire quelque chose qu'elle avait crue ne jamais refaire. Elle allait lui prouver qu'elle savait très bien sourire, d'un sourire dont elle n'était pas peu fière. C'est alors que ses lèvres couleur framboise s'étirèrent en un sourire dévoilant les dents éclatantes de Arisu. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas fait sa: sourie à un garçon. Et bizarrement, elle se sentait bien. Arisu continua alors de sourire et attendit une quelconque réaction de celui-ci.

Pour Hiroto, la dernière réplique de la jeune fille avais agis sur lui comme une baffe. Il ne savait pas comment il devait prendre ses paroles, et pour la première fois, elle lui avait demander d'énormément réfléchir pour comprendre. Il décida enfin du sens qu'il allait apporter aux paroles de la fillette.
- Mouais... En tout cas, je sais que tu es une petite fille casse-pied qui ne sourit pas beaucoup...

Il voulut se mettre à bouder tel un enfant de six ans, mais, ce n'était guère le moment. Il prit plutôt une boucher de son plat principal et changea rapidement le sujet pour un sujet plus sérieux.
-De quel côté tu es Arisu-chan?

Hiroto lâcha ces mots rapidement, simplement et s'en rajouter quoi que se soit après. Il faisait en même temps le vide dans on cerveau et brouillait ses réelles penser pour qu'elle ne puisse les lires où les lui arracher, et ainsi atteindre la bonne réponse facilement.
*devant, derrière, devant et voici mon derrière. A oui, et aussi l'histoire de la fille amoureuse d'un garçon qui l'ignore*

Arisu avait continué de sourire. Mais quand elle entendit les propos de ce Hiroto, son sourire s'effaca automatiquement laissant place à un regard noir qu'elle ne connaissait que trop bien et un visage crispé par l'énervement.

- Et bien sache que "la petite fille" te dit m***e et qu'elle sourit à qui elle veut. fit-elle.

Arisu n'était pas du genre impoli, mais il était sur que ce garçon ne savait vraiment rien d'elle... La jeune fille avait cessé de regarder cet enquiquineur et c'était à nouveau perdu dans ses réflèxions. Cela ne dura d'ailleurs pas longtemps car elle fut tiré de ses songes par une questions venant de la personne qu'elle avait jusque là ignoré.

- Ma vie ne te regarde pas... Alors arrête de m'ennuyer avec tes questions.

Sa réponse avait été accompagné d'un regard peu amical. Il ne dura toute fois que peu de temps car Arisu fut submergée par un souvenir. Elle repoussa du mieux qu'elle le pouvait le flot de larme qui avait pris l'habitude d'accompagner ce souvenir douloureux.
Si douloureux soit-il, elle ne pouvait l'oublier. Le souvenir de ces dernière pensées qu'il lui avait adressé...
Pour une fois, Arisu remerciait intérieurement Hiroto. Car il venait de la tirer de sa rêverit, rêverit qui si elle avait continué aurait finalement eu raison d'elle et inondé son visage de larmes. Mais Arisu ce rendit vite compte qu'une larme lui avait échappée. Elle s'empressa donc de baisser la tête, ses long cheuveux brun lui offrait une "cachette", elle espérait que Hiroto n'aurait pas remarqué son malaise. La jeune fille se concentra donc sur les pensées du garçon qu'elle venait d'intercepter. Seulement, elle ne trouvait pas de sens à celles-ci.

- Qu'est-ce que c'est que ce charabia ? Et qu'elle est cette histoire avec cette fille ? Tu pourrais quand même garder tes pensées bizarres pour toi...

Arisu avait répondu d'une voix qu'elle avait contrôlé du mieux qu'elle l'avait pu et resta la tête baissé en ne faisant aucun geste. Elle aurait voulu essuyer les larmes qui malgrer elle se multipliait mais n'en fit rien. Elle resta donc telle une poupée sans vie.

Hiroto se mit à rire. Cette lui paraissait vraiment très drôle. Elle passait d'un tempérament calme et ouvert à un qui était calme et complètement renfermé. Hiroto s'en amusait vraiment, pour lui, comprendre cette fille, était une source de distraction.
-Ha ha ha, c'est vrai, j'oubliai que tu lisait les penser des gens à tout moment. Ne connais-tu pas le moyen de faire taire toutes nos voix?

Hiroto oubliais qu'elle n'étais qu'une 2è année, et qu'apprendre à ne plus entendre les voix était au programme de 3è année, à moins qu'elle ne sache déjà le faire. Quand il s'en rappela, il décida de changer de sujet puisqu'il connaissait la réponse, et de trouver les réponses qu'il veut d'une manière détournée.
-Sinon miss sans sourire, à qui souris-tu en général?

Il prit son désert et regarda le visage de la jeune. Il y vit plusieurs signe montrant qu'elle réfléchissait légèrement pour ne pas faire d'erreurs.

Arisu ne put qu'écouter le rire de Hiroto, écoutant donc ce qu'il disait à voix haute tout comme se qu'il pensait. La jeune fille souria discrètement, de toute façon il n'aurait pas pu voir son visage car elle avait toujours la tête baissé de façon à pouvoir laisser libre court au flot de larmes qui se déversait sur son chemisier blanc. Puis elle décida de répliquer à ce qu'il avait pensé.

- Toutes ses voix comme tu l'a pensées sont pour l'instant éteinte, j'ai dressé une sorte de bouclier pour ne pas les écouter. Je me focalise seulement sur tes pensées parce que c'est déja suffisamment compliquer de les comprendres. dit-elle d'une qu'elle avait voulu assuré.

Arisu réfléchissait à présent aux dernières paroles que Hiroto avait prononcées. Elle ne savait pas quoi répondre sans parler de quelque chose qu'elle s'éfforcait d'oublier.
Après plusieurs minutes d'ésitation, Arisu releva la tête, dévoilant son visage ruisselant de larmes. Quand elle pleurait, ses yeux était plus brillant qu'a l'ordinaire et prenait une teinte bleue.

- Je ne vois pas pourquoi tu me demande ca. fit-elle simplement.

Arisu le fixait droit dans les yeux, d'un regard infiniment triste. Elle ne prit pas la peine de stopper ses larmes car elle savait qu'elle n'y serait pas arrivé tellement son chagrin était grand. Hiroto venait de rouvrir la plaie qu'elle s'était efforcé de combler.
Arisu regarda donc ce garçon dans les yeux s'attendantiquaire à ce qu'il rit, puisque apparemment il riait de ses moindre fait et geste.

Hiroto eut un petit sourire de satisfaction. Non pas parce qu'il l'avait fait pleure, mais plutôt parce qu'il avait réussit à la forcer à lui montrer ses véritable émotion. Il afficha un sourire niait mais, qui pour une première, n'était pas remplit de sarcasme.
-Je te demande ça parce que je veux faire parti des gens à qui tu souris sincèrement!

De parce qu'il était casse-pied et manquait totalement de tact, Hiroto n'avait pas de réelles amis. Cette fille lui paraissait insouciante au début, mais finalement, il décela en elle une certaine force qui la rendait exceptionnelle. D'autant que, même si il ne pouvait comme elle lire les penser des autres quand il le souhaitait, il pouvait entendre les SOS silencieux qu'elle envoyait en fuyant les garçons qui s'approchait d'elle.
*Tu as raison finalement, en y repensant, mes penser sont louches...*

Il affichait un grand sourire et continuait de manger son dessert. Il sorti également un mouchoir en tissue qu'il tendit à Arisu pour qu'elle puisse essuyer ses larmes. Pour une fois, les actions de Hiroto semblait un peu plus intelligente et plus cool que d'habitude.

Arisu pleurait toujours, et en entandant les paroles qu'il avait prononcé, son malaise ne s'arragea pas. Elle ne pas quoi répondre à ce garçon sans lui dire toute la véritée. Et cette vérité, elle préfèrait la garder pour elle.
La jeune esseya de se calmer et respira lentement, elle ignora le mouchoir que Hiroto lui tendait, elle n'en voulait pas. C'est d'une voix assurée qu'elle lui parla, seul ses larmes trahissait ses émotions.

- Je ne sourit plus sincèrement qu'à une seule personne et ce n'est pas toi.

Elle avait prononcé cette phrase simplement même si pour elle, ca n'avait pas été aussi simple. Arisu en avait asser de ce garçon, elle ferma donc ses yeux d'où s'échappèrent deux nouvelle larmes de colères cette fois et tel des poignardes, la jeune fille envoya des mots dans l'esprit de Hiroto.

* Tu peux ranger ton mouchoir. Et j'espère de plus jamais te reparler. *

Sur ces pensées plus que froide, Arisu se leva, laissant son plateau sur place et partie en coups de vent. Sans même se retourner, elle disparut dans l'un des nombreux couloirs du pensionnat.

Hiroto vit la jeune fille partir vers la sortie. Il se rassura qu'elle ne prit pas le mouchoir car en faite, avant de le lui donner, il l'avait trouvé par terre derrière elle. Il rigola pendant un bon moment et termina son dessert. Il prit ensuite son plateau et alla le poser sur des emplacement réservé pour.
*Je me demande si elle le savait pour le mouchoir*

Il revint ensuite à sa table et y écrivit un petit message. Sur le bout de papier, était écrit : "Ce plateau est à Arisu Misaki", et ensuite Hiroto parti, heureux de savoir qu'il ne serait pas accuser d'avoir encore une fois laissé on plateau sans le ranger...
*Pfff... et dire que nous sommes dans la même chambre... sa va pas être la joie...*

Arisu avait eu vite fait de faire demi-tour, car malgrer son désir d'échapper à la cafétéria et plus particulièrement à Hiroto, elle ne souhaitait pas avoir de problèmes. Et des problèmes, elle risquait d'en avoir si elle ne se dépéchait pas d'aller ranger son plateau.
Ne voulant pas se faire voir par celui qu'elle avait eu vite fait de semer, elle se stoppa à côté d'une des portes de la cafétéria. Pour plus de discrètion, Arisu avait décidée de rentrer dans la cafétéria par une porte autre que celle par laquelle elle était quelques minutes plus tôt sortie. Avant de pénétrer dans la vaste salle, la jeune fille regarda le plus discrètement qu'elle pu par la porte qui malheureusement pour elle était en verre et donc transparente. Elle chercha du regard si Hiroto était toujours dans les parages. Il se dirigeait son plateau en main vers l'endroit ou tout le monde devait déposer son plateau après avoir finit de manger.
Arisu préféra cesser de suivre les fait et gestes de Hiroto et se plaqua dos au mur à coté de la porte pour éviter qu'elle ne se fasse remarquer. Elle ne put s'empêcher de suivre le cour des pensées du garçon. Elle ferma donc les yeux et laissa son esprit s'imprégner des pensées de Hiroto.
Arisu fut prise au dépouvu par les pensées qu'elle venait de surprendre. Son coeur s'arrêta un instant pour ensuite battre à toute vitesse, ce qui la fit immédiatement sortir de sa transe et elle glissa le long du mur jusqu'à se qu'elle soit assise à même le sol.
Personne ne lui avait encore jamais fait le coup du mouchoir... Mais après mûre réfexion, Arisu fut obligée d'admettre qu'elle n'avait pas été très gentille avec lui. Elle décida tout de même de ne pas aller s'excuser de peur d'en dire trop sur les raisons de ce comportement.
La douleur la fit sortir de ses réflexions. Elle se releva et réalisa qu'une petite flaque de sang se formait sur le sol. Elle regarda ses jambes qui n'avaient rien puis dévisagea son bras gauche qui lui avait une belle entaille de dix bon centimètres qui partait du dessous de son épaules pour s'arrêter au niveau de son coude. Le sang dégoulinait sur l'ensemble de son bras pour ensuite venir perler le long de ses doigts et enfin finissait former la flaque par terre.
Arisu entreprit de dénouer d'une main le foulard blanc qu'elle avait noué dans ses cheveux pour l'enrouler du mieux qu'elle le pu autour de la blessure. Le tissu blanc prit une teinte rouge et pour ne rien arranger, une odeur désagréable de rouille commençait à lui tourner la tête.
La jeune fille savait que si elle continuait de regarder le sang plus longtemps, elle ferait sûrement un malaise. Elle se précipita donc dans la cafétéria et arrivée au niveau de la table où reposait son plateau elle prit le billet disant que ce plateau abandonné lui apartenait et le fourra dans sa poche. Elle aperceva ensuite Hiroto qui s'appretait à franchir une des sorties. Sa dernière chance était la télépathie.


* Hiroto, excuse-moi pour tout à l'heure... Retourne-toi s'il te plaît.

Arisu luttait comme elle le pouvait mais l'odeur du sang prenait l'avantage sur elle. Elle resta debout sa maint valide sur la première chaise qu'elle avait trouvée pour la soutenir et éviter qu'elle ne tombe. Elle attendait sans grand espoir que Hiroto ou une autre personne l'aide.